La 2ème partie de notre séjour commence le samedi 16 février 2019.
Nous quittons le Sud désertique pour nous rendre dans le Nord de l'île où le tourisme est beaucoup plus tranquille, les paysages plus variés et les villages coloniaux splendides.
Nous avons loué une maison canarienne magnifiquement rénovée située sur les hauteurs de Bajamar (à côté de Punta de Hidalgo sur la carte). La maison possède un jardin exotique ainsi qu'un patio très sympa avec un bassin aquatique dont le clapotis berce nos nuits...
L'Est de l'île ne présente pas grand intérêt mais bien que seulement 1h15 nous séparent de notre point de chute, sur la route nous faisons une randonnée autour de Guimar.
Le "Malpaís de Guimar" est une réserve naturelle déclarée espace protégé depuis 1987. C'est un paysage volcanique qui s'étend de la Montana Grande jusqu'au littoral. On marche littéralement sur les anciennes coulées de lave tout droit sorties d'un film de science fiction...
Les buissons d'euphorbes y abondent (rappelez-vous : les Tabaibas dulces de la Montana Roja...) ainsi que les euphorbes canariensis qui dépassent ici les 3 mètres.
Et dans la partie littorale, on trouve de nombreuses laitues de mer ("lechugas de mar")...
Nous avons effectué la boucle qui part du village en pratiquement 2 heures. Nous n'avons pas rencontré grand monde sauf à la fin sur la partie qui borde la mer.
Santa Cruz de Tenerife, la capitale de Tenerife et la capitale de l'archipel canarien, est aussi située sur la côte Est. Nous profitons d'une journée très maussade pour y passer une après-midi à flâner autour de sa Plaza de Espana, ses piscines et son auditorium.
La Plaza de Espana ressemble en fait à un immense bassin circulaire avec une fontaine qui crache de l'eau 4 fois par jour (indiquant les marées hautes et basses). Nous profitons d'une éclaircie pour boire un barraquito, une boisson que l'on ne trouve qu'à Ténérife et La Palma associant de manière très précise café, lait concentré sucré, cannelle, liqueur 43, zeste de citron, le tout en des couches bien délimitées et visibles. L'essayer c'est l'adopter !
Non loin de la place se trouve la Iglesia de Nuestra Senora de la Concepcion qui était fermée pour rénovation lors de notre passage.
La plaza de la Iglesia de San Francisco est un endroit bien agréable en centre ville, avec son petit jardin et ses cafés...
Sur le front de mer prend place l'auditorium, l'un des symboles de la ville de Santa Cruz de Tenerife et des îles Canaries. Il est également considéré comme l'édifice le plus moderne de l'archipel et l'un des bâtiments les plus emblématiques de l'architecture contemporaine espagnole. Certains y voient une vague, d'autres un dauphin plongeant... et vous ?
À côté de l'auditorium se trouvent les Torres de Santa Cruz, qui sont les plus hauts gratte-ciel des îles Canaries, les plus hautes tours jumelles en Espagne et, jusqu'en 2010, les plus hautes tours résidentielles du pays. Au premier plan, une oeuvre offerte par César Manrique, peintre, architecte et sculpteur espagnol qui a défendu la nature de son île natale, Lanzarote.
Les vallées et ravins profonds qui descendent des sommets débouchent sur la mer qui offre un large choix de plages. La plupart sont de petites criques de sable noir qui offrent pas mal de vagues à surfer pour mon Fred.
Ici à Punta de Hidalgo près de chez nous...
à Bajamar...
Là, à Almaciga et Roque de Bodega près de Taganana au coeur du parc...
A 6 kilomètres de Santa Cruz, dans la commune de San Andrès, la plage de Las Teresitas est une plage au sable doré, ce qui change du sable noir. Il parait qu'il aurait été importé du Sahara... Ici point de vagues, seulement des barques de pêcheurs, bien colorées.
Afin que tout le monde puisse profiter de la mer, et pas seulement les surfeurs (!!!) on trouve de nombreuses piscines semi-naturelles disséminées un peu partout sur la côte. Ici à Punta de Hidalgo et Bajamar... L'eau de l'Atlantique est néanmoins trop froide en février pour que nous les testions (18-19°)
La région de l’Anaga est l’une des régions de Tenerife les plus propices à la randonnée. Des circuits de quelques heures à la randonnée à la journée, il y en a pour tous les goûts. Néanmoins, du fait du caractère très montagneux de cette région (les montagnes de l’Anaga culminent à près de 1000 m), il y a souvent pas mal de dénivelé et la météo est à surveiller de près car les pluies peuvent survenir très rapidement !
Pour notre part, nous avons randonné à 2 reprises.
La 1ère fois, sur les conseils de la maison du parc de Cruz del Carmen, nous avons emprunté plusieurs morceaux de la randonnée PR TF6.
Nous sommes partis du village de Chamorga à l'extrême Nord-Est en direction del Draguillo. Cette partie de la randonnée traverse une belle forêt de laurisylve, une forêt de type subtropical humide. Le bassin méditerranéen était recouvert de ce type de forêt jusqu'à ce que les glaciations en vinrent à bout.
Cette région recèle une flore riche en espèces endémiques telles que la Bicacaro (fleur orange), des fougères, certaines formes de géraniums (fleur violette sur la photo ci-dessus), des lichens, des bruyères arborescentes, des lauriers et des joubarbes (sorte de rosette à grandes feuilles arrondies).
Nous sommes ensuite sortis de la forêt et avons rejoint le sentier n° 6.1 à l'ancien hameau de Tafada jusqu'au point de vue sur le phare de Baja Negra. Puis nous sommes revenus par ce même sentier jusqu'à notre village de départ Chamorga.
Le village de Taganana est l’un des plus pittoresques de l’Anaga, avec toutes ses maisons blanches, encastrées dans la montagne.
Nous quittons le Sud désertique pour nous rendre dans le Nord de l'île où le tourisme est beaucoup plus tranquille, les paysages plus variés et les villages coloniaux splendides.
Nous avons loué une maison canarienne magnifiquement rénovée située sur les hauteurs de Bajamar (à côté de Punta de Hidalgo sur la carte). La maison possède un jardin exotique ainsi qu'un patio très sympa avec un bassin aquatique dont le clapotis berce nos nuits...
L'Est de l'île ne présente pas grand intérêt mais bien que seulement 1h15 nous séparent de notre point de chute, sur la route nous faisons une randonnée autour de Guimar.
Le "Malpaís de Guimar" est une réserve naturelle déclarée espace protégé depuis 1987. C'est un paysage volcanique qui s'étend de la Montana Grande jusqu'au littoral. On marche littéralement sur les anciennes coulées de lave tout droit sorties d'un film de science fiction...
Les buissons d'euphorbes y abondent (rappelez-vous : les Tabaibas dulces de la Montana Roja...) ainsi que les euphorbes canariensis qui dépassent ici les 3 mètres.
Et dans la partie littorale, on trouve de nombreuses laitues de mer ("lechugas de mar")...
Nous avons effectué la boucle qui part du village en pratiquement 2 heures. Nous n'avons pas rencontré grand monde sauf à la fin sur la partie qui borde la mer.
Santa Cruz de Tenerife, la capitale de Tenerife et la capitale de l'archipel canarien, est aussi située sur la côte Est. Nous profitons d'une journée très maussade pour y passer une après-midi à flâner autour de sa Plaza de Espana, ses piscines et son auditorium.
La Plaza de Espana ressemble en fait à un immense bassin circulaire avec une fontaine qui crache de l'eau 4 fois par jour (indiquant les marées hautes et basses). Nous profitons d'une éclaircie pour boire un barraquito, une boisson que l'on ne trouve qu'à Ténérife et La Palma associant de manière très précise café, lait concentré sucré, cannelle, liqueur 43, zeste de citron, le tout en des couches bien délimitées et visibles. L'essayer c'est l'adopter !
Non loin de la place se trouve la Iglesia de Nuestra Senora de la Concepcion qui était fermée pour rénovation lors de notre passage.
La plaza de la Iglesia de San Francisco est un endroit bien agréable en centre ville, avec son petit jardin et ses cafés...
Sur le front de mer prend place l'auditorium, l'un des symboles de la ville de Santa Cruz de Tenerife et des îles Canaries. Il est également considéré comme l'édifice le plus moderne de l'archipel et l'un des bâtiments les plus emblématiques de l'architecture contemporaine espagnole. Certains y voient une vague, d'autres un dauphin plongeant... et vous ?
Sur les rochers de la digue, des peintres ont illustré les artistes d'hier et d'aujourd'hui...
Juste à côté, l'oeuvre posthume du célèbre artiste, le Parc Maritime de Santa Cruz de Tenerife a été inauguré en 1995. Pour sa conception, des éléments naturels comme de la roche volcanique, des palmiers et des plantes ornementales ont été utilisés, ainsi que des cascades d’eau salée. Tout cela décoré des “Juguetes del viento” (“jouets de vent”) de César Manrique, reconnaissables entre tous (on en voit un au fond de la photo). Malheureusement, le parc était fermé lors de notre passage car le temps était trop changeant...
A quelques minutes en voiture de notre logement se trouve le parc rural d'Anaga, déclaré réserve de biosphère, qui occupe toute la pointe Nord-Est de l'île. C'est là que les paysages sont si beaux...
Les vallées et ravins profonds qui descendent des sommets débouchent sur la mer qui offre un large choix de plages. La plupart sont de petites criques de sable noir qui offrent pas mal de vagues à surfer pour mon Fred.
Ici à Punta de Hidalgo près de chez nous...
à Bajamar...
Là, à Almaciga et Roque de Bodega près de Taganana au coeur du parc...
A 6 kilomètres de Santa Cruz, dans la commune de San Andrès, la plage de Las Teresitas est une plage au sable doré, ce qui change du sable noir. Il parait qu'il aurait été importé du Sahara... Ici point de vagues, seulement des barques de pêcheurs, bien colorées.
Afin que tout le monde puisse profiter de la mer, et pas seulement les surfeurs (!!!) on trouve de nombreuses piscines semi-naturelles disséminées un peu partout sur la côte. Ici à Punta de Hidalgo et Bajamar... L'eau de l'Atlantique est néanmoins trop froide en février pour que nous les testions (18-19°)
La région de l’Anaga est l’une des régions de Tenerife les plus propices à la randonnée. Des circuits de quelques heures à la randonnée à la journée, il y en a pour tous les goûts. Néanmoins, du fait du caractère très montagneux de cette région (les montagnes de l’Anaga culminent à près de 1000 m), il y a souvent pas mal de dénivelé et la météo est à surveiller de près car les pluies peuvent survenir très rapidement !
Pour notre part, nous avons randonné à 2 reprises.
La 1ère fois, sur les conseils de la maison du parc de Cruz del Carmen, nous avons emprunté plusieurs morceaux de la randonnée PR TF6.
Nous sommes partis du village de Chamorga à l'extrême Nord-Est en direction del Draguillo. Cette partie de la randonnée traverse une belle forêt de laurisylve, une forêt de type subtropical humide. Le bassin méditerranéen était recouvert de ce type de forêt jusqu'à ce que les glaciations en vinrent à bout.
Cette région recèle une flore riche en espèces endémiques telles que la Bicacaro (fleur orange), des fougères, certaines formes de géraniums (fleur violette sur la photo ci-dessus), des lichens, des bruyères arborescentes, des lauriers et des joubarbes (sorte de rosette à grandes feuilles arrondies).
A mi-chemin, nous avons suivi le panneau Tafada qui nous a permis de dominer le paysage et d'avoir de magnifiques points de vue sur les Roques de Anaga pour notre pause déjeuner.
Nous sommes ensuite sortis de la forêt et avons rejoint le sentier n° 6.1 à l'ancien hameau de Tafada jusqu'au point de vue sur le phare de Baja Negra. Puis nous sommes revenus par ce même sentier jusqu'à notre village de départ Chamorga.
Le village de Taganana est l’un des plus pittoresques de l’Anaga, avec toutes ses maisons blanches, encastrées dans la montagne.
Pour notre 2ème randonnée dans l'Anaga, nous laissons notre voiture à Punta de Hidalgo et partons en bus jusqu'à Cruz del Carmen. De là, nous empruntons le sentier TF 10 pour une descente de 5 heures bien vallonnée...
Comme pour la 1ère rando, le sentier traverse une forêt de laurisylve TRES humide ! La terre colle sous les semelles et nous manquons glisser à plusieurs reprises. Les branches des arbres sont toutes tordues, un peu comme des bras de sorcières. A certains moments, nous ne distinguons plus le ciel tellement la végétation est dense... Ce n'est pas le genre de randonnées que nous apprécions d'habitude car nous recherchons plutôt le soleil, mais il faut avouer que l'ambiance est particulière et le calme assez plaisant...
Lorsque nous quittons les sous-bois, le paysage change radicalement et nous profitons de la vue à flanc de colline (ou montagne ?) jusqu'à atteindre le petit hameau de Chinamada. Le soleil nous réchauffe bien car il ne faisait pas bien chaud sous cette couverture végétale !
Du hameau, essentiellement constitué de maisons construites dans les cavités rocheuses, nous avons une vue sur le Roque de Pinos ainsi qu'une magnifique vue plongeante sur les falaises au-dessus de Punta de Hidalgo.
A partir de Chinamada, un sentier sinueux descend jusqu'à la mer. Nous traversons alors un splendide paysage de roches rouges sculptées et de cactus. Nous ne nous arrêtons plus de prendre des photos tellement le paysage est "photogénique"...
A notre arrivée nous nous retournons pour contempler le paysage que nous venons de parcourir. Quelle belle randonnée !
Du hameau, essentiellement constitué de maisons construites dans les cavités rocheuses, nous avons une vue sur le Roque de Pinos ainsi qu'une magnifique vue plongeante sur les falaises au-dessus de Punta de Hidalgo.
A notre arrivée nous nous retournons pour contempler le paysage que nous venons de parcourir. Quelle belle randonnée !
Notre logement à Bajamar nous a donc permis de rayonner facilement et de rejoindre les magnifiques villes coloniales de La Orotava, Puerto de La Cruz et San Cristobal de La Laguna ( La Laguna pour les intimes...).
La Orotava est une des localités les plus typiques de l'île, qui a su garder son authenticité en préservant son architecture. Avec ses places, ses églises, ses rues pavées avec balcons, elle est vraiment très agréable pour se balader.
De La Orotava, nous ne résistons pas à l'occasion de nous rendre pour la 3ème fois dans le parc du Teide. En accédant au parc par ce côté, nous traversons une magnifique forêt de pins canariens et de châtaigniers avec une vue inoubliable sur le Teide.
Nous partons cette fois pour une randonnée autour de la Montaña Blanca qui culmine à 2320 mètres d'altitude, sur les flancs du Teide.
Après un départ sur un large sentier assez fréquenté et très venté, nous bifurquons sur la droite pour suivre un chemin plus petit avec des vues sur cette montagne blanche constituée de petites pierres ponce.
Le paysage est magique ! Mais il fait froid ! On trouve même quelques traces de la dernière neige...
Les sculptures forgées par dame nature sont des plus impressionnantes. On a même parfois peur de rester dessous...
Au sommet, nous perdons le chemin et après un "free ride" à travers les laves, nous nous retrouvons devant un paysage à mi-chemin entre désert et apocalypse...
Nous mettons 45 minutes pour retrouver une trace et devons dévaler une pente vertigineuse dans les pierres ponce. On s'en met plein les chaussures mais quelle rigolade !
Nous arrivons aux mines de San José que nous avions reconnues de loin pour nous y être déjà arrêtés il y a quelques jours. Nous faisons ensuite du stop pour rejoindre le parking où nous attend la voiture.
Puerto de La Cruz est la plus ancienne cité touristique de Tenerife. Pour l'histoire, au XIXème siècle, les riches marchands anglais venaient y passer leurs vacances.
Elle se situe dans une vallée très fertile au pied du Teide. Ici, ce sont cultures de bananes, vignes et pommes de terre à perte de vue.
Le cœur historique est concentré sur 2 rues parallèles où nous avons flâné, entre la Plaza Europa et la Plaza del Charco. Autour, ce ne sont que de hauts bâtiments et l'ensemble est assez urbanisé.
Nous sommes venus à Puerto de La Cruz pour profiter du Parc Aquatique Lago Martianez conçu par César Manrique, sur un espace gagné sur la mer. Les 7 piscines d'eau de mer sont entourées de roches volcaniques et d'une végétation de cactées bien canarienne. Nous y avons passé un bon moment à profiter de ses bains de soleil bien appréciables en cette saison.
La Orotava est une des localités les plus typiques de l'île, qui a su garder son authenticité en préservant son architecture. Avec ses places, ses églises, ses rues pavées avec balcons, elle est vraiment très agréable pour se balader.
De La Orotava, nous ne résistons pas à l'occasion de nous rendre pour la 3ème fois dans le parc du Teide. En accédant au parc par ce côté, nous traversons une magnifique forêt de pins canariens et de châtaigniers avec une vue inoubliable sur le Teide.
Après un départ sur un large sentier assez fréquenté et très venté, nous bifurquons sur la droite pour suivre un chemin plus petit avec des vues sur cette montagne blanche constituée de petites pierres ponce.
Le paysage est magique ! Mais il fait froid ! On trouve même quelques traces de la dernière neige...
Les sculptures forgées par dame nature sont des plus impressionnantes. On a même parfois peur de rester dessous...
Au sommet, nous perdons le chemin et après un "free ride" à travers les laves, nous nous retrouvons devant un paysage à mi-chemin entre désert et apocalypse...
Nous mettons 45 minutes pour retrouver une trace et devons dévaler une pente vertigineuse dans les pierres ponce. On s'en met plein les chaussures mais quelle rigolade !
Nous arrivons aux mines de San José que nous avions reconnues de loin pour nous y être déjà arrêtés il y a quelques jours. Nous faisons ensuite du stop pour rejoindre le parking où nous attend la voiture.
Puerto de La Cruz est la plus ancienne cité touristique de Tenerife. Pour l'histoire, au XIXème siècle, les riches marchands anglais venaient y passer leurs vacances.
Elle se situe dans une vallée très fertile au pied du Teide. Ici, ce sont cultures de bananes, vignes et pommes de terre à perte de vue.
Le cœur historique est concentré sur 2 rues parallèles où nous avons flâné, entre la Plaza Europa et la Plaza del Charco. Autour, ce ne sont que de hauts bâtiments et l'ensemble est assez urbanisé.
Nous sommes venus à Puerto de La Cruz pour profiter du Parc Aquatique Lago Martianez conçu par César Manrique, sur un espace gagné sur la mer. Les 7 piscines d'eau de mer sont entourées de roches volcaniques et d'une végétation de cactées bien canarienne. Nous y avons passé un bon moment à profiter de ses bains de soleil bien appréciables en cette saison.
Comme à Santa Cruz, nous retrouvons les nombreux "juguetes del viento" de Manrique (jouets du vent).
Nous passons une soirée bien agréable à La Laguna à arpenter ses nombreuses rues piétonnes et à admirer ses façades coloniales, ses églises et ses patios cachés.Pour conclure, en plus de son climat doux et de ses paysages variés, Tenerife nous a régalés par sa gastronomie. Si vous vous y rendez un jour, n'hésitez pas à faire comme nous et à manger dans les nombreux "guachinches", sortes d'auberges populaires, ou bien dans les "cofradias", sortes de coopératives de pêcheurs, pour manger des produits de la mer.Nous avons aussi eu la chance de pouvoir utiliser le barbecue de notre maison canarienne airbnb pour griller de délicieux calamars accompagnés de papas arugadas (pommes de terre cuites dans du sel) et de mojo vert et rouge.